En vrac...
Il est des soirs où j’aimerais écrire. Écrire pour vous parler. Pour vous dire tout ce qui va bien dans ma petite tête. Ou tout ce qui va mal, ça dépend des soirs.
Mais il est des soirs où l’envie d’écrire ne favorise pas l’inspiration. Vraiment pas.
Alors, il vaut mieux se taire. Mais, même si je n’écris pas tout ce que je voudrais, je ne peux pas me taire…
Je n’arrive pas à m’empêcher de vous livrer en vrac les superficialités du jour.
-Ce matin, j’ai adoré mon réveil, qui ne m’a tirée du lit qu’à 11h45. J’adore les grasses mat. Douce récompense de la série d’après-midi que j’ai commencée hier.
-Ce matin, dans la foulée, j’ai haï l’installateur sanitaire. Soi disant, l’ancienne chaudière était vétuste. Soi disant, il était nécessaire de la changer. En décembre. Riche idée! Depuis que la nouvelle chaudière est en fonction, on se les pèle. Ce matin, summum du plaisir : pas d’eau chaude et pas de chauffage. S’il n’y avait que ça, ce ne serait pas drôle. Le chauffage étant « à air pulsé » (je sais, ça paraît antique), il soufflait froid. Charmant pour la sortie de la douche…! Qu’on ne vienne pas râler si j’ai chopé la crève…!
-Cette après-midi, c’était sympa… Calme et cool. J’appréhendais que ça ne soit speed, alors la douce ambiance de Noël et les sapins qui fleurissent dans les chambres des patients m’ont paru d’une apaisante douceur…
-J’aime quand on me dit que je suis inoubliable. J’en rougis encore. Euh… En fait, c’était peut-être pas un compliment, maintenant que j’y pense…
-Va falloir encore tirer trois après-midi…! Vive les grasses mats!…
-Je bosse à Noël. De matin, les 24, 25 et 26. Du coup, Noël prend des allures que je ne lui connaissais pas. Je n’arrive pas à me réjouir comme les années passées. Je suis frustrée d’avance de ne pas être là tout Noël. J’imagine déjà mes yeux cernés après trois jours de peu de sommeil, et je sens monter alors les râleries bougonnes de la Marinette fatiguée… Les collègues, je sens que vous allez me maudire…! Mais j’aurais la chance d’être là à la veillée, et à l’ouverture des cadeaux des petits bouts. Et je ne louperais ça pour rien au monde…
Mouais. En fait, je n’avais pas grand-chose à vous raconter… J'aurais mieux fait de me taire, mais je suis bavarde, il paraît...
Pour tout le reste, ça baigne…
Multikiss, Maxitchao…
Mais il est des soirs où l’envie d’écrire ne favorise pas l’inspiration. Vraiment pas.
Alors, il vaut mieux se taire. Mais, même si je n’écris pas tout ce que je voudrais, je ne peux pas me taire…
Je n’arrive pas à m’empêcher de vous livrer en vrac les superficialités du jour.
-Ce matin, j’ai adoré mon réveil, qui ne m’a tirée du lit qu’à 11h45. J’adore les grasses mat. Douce récompense de la série d’après-midi que j’ai commencée hier.
-Ce matin, dans la foulée, j’ai haï l’installateur sanitaire. Soi disant, l’ancienne chaudière était vétuste. Soi disant, il était nécessaire de la changer. En décembre. Riche idée! Depuis que la nouvelle chaudière est en fonction, on se les pèle. Ce matin, summum du plaisir : pas d’eau chaude et pas de chauffage. S’il n’y avait que ça, ce ne serait pas drôle. Le chauffage étant « à air pulsé » (je sais, ça paraît antique), il soufflait froid. Charmant pour la sortie de la douche…! Qu’on ne vienne pas râler si j’ai chopé la crève…!
-Cette après-midi, c’était sympa… Calme et cool. J’appréhendais que ça ne soit speed, alors la douce ambiance de Noël et les sapins qui fleurissent dans les chambres des patients m’ont paru d’une apaisante douceur…
-J’aime quand on me dit que je suis inoubliable. J’en rougis encore. Euh… En fait, c’était peut-être pas un compliment, maintenant que j’y pense…
-Va falloir encore tirer trois après-midi…! Vive les grasses mats!…
-Je bosse à Noël. De matin, les 24, 25 et 26. Du coup, Noël prend des allures que je ne lui connaissais pas. Je n’arrive pas à me réjouir comme les années passées. Je suis frustrée d’avance de ne pas être là tout Noël. J’imagine déjà mes yeux cernés après trois jours de peu de sommeil, et je sens monter alors les râleries bougonnes de la Marinette fatiguée… Les collègues, je sens que vous allez me maudire…! Mais j’aurais la chance d’être là à la veillée, et à l’ouverture des cadeaux des petits bouts. Et je ne louperais ça pour rien au monde…
Mouais. En fait, je n’avais pas grand-chose à vous raconter… J'aurais mieux fait de me taire, mais je suis bavarde, il paraît...
Pour tout le reste, ça baigne…
Multikiss, Maxitchao…