Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous...
J'aime en silence...
Pourquoi en silence? Je ne sais pas. Par pudeur, par peur de la réaction, par timidité, par nécessité, ou juste inconsciemment.
En y réfléchissant, je trouve que je ne dis pas assez souvent aux personnes qui m’entourent que je les aime. Je pense que c’est pareil pour tout le monde. Vous me répondrez qu’il ne faut pas dire aux gens qu’on les aime, il faut le leur prouver.
Certes, mais mes preuves d’amour ne sont peut-être pas vues comme telles…
Et puis, ce n’est pas évident à dire… Honnêtement.
C’est inné, souvent, d’aimer sa famille proche. Pas pour tout le monde, mais moi je les aime. Et je me sens aimée. Mais ça réchaufferait mon cœur et les leurs de le dire, de temps en temps, non?
Ce n’est pas par souci de reconnaissance ou par angoisse soudaine d'abandon, juste parce que je crois que c’est important de partager ces mots tendres, tout en les vivant.
Il y a des moments plus propices aux échanges à cœur ouvert, mais on n’ose pas toujours se le dire, les yeux dans les yeux!
Après une longue discussion grave et sérieuse avec quelqu'un qui m’est très proche, nous avons échangé quelques mails. Parce que, comme toujours, on ose plus par écrit. Et elle a mis le doigt sur ce manque, cette absence, malgré l’intensité de notre relation. Et elle a écrit ces trois mots pendus au cœur de tous, mais qui ne franchissent que trop rarement la barrière de nos lèvres.
J’ai discuté récemment avec une jeune de mon âge qui a un proche gravement malade (non, rien à voir avec mon boulot!) et qui met un point d’honneur à profiter des derniers instants, à aimer et à le dire. Elle a raison, mais je ne veux pas attendre ces situations extrêmes et ultimes.
Je sais que je suis aimée et je sais qui m’aime, là n’est pas le problème. Je veux juste braver mes interdits et me permettre de le leur dire, ou de leur écrire. Mais selon la personne à qui on le dit, c’est plus ou moins facile. J’ai pu depuis le dire à quelques uns. Pas à tous. Toujours pour les mêmes raisons.
Alors voilà, mes sœurs, ma belle-sœur, mon frère, mes beaux-frères, mes parents, mes ami(e)s très proches… Je vous aime! Et je voulais vous le dire…alors je vous l'écris.
Je tente avec ce que je suis de vous le prouver dès que je le peux. Je veux que vous sachiez que je suis toujours là, pour les choses pratiques et pour les autres choses, plus profondes.
Je suis là parce que je vous aime et que vous me le rendez bien.
Je vous resterai fidèle, parce que vous aussi, vous êtes cette main tendue dans la pénombre, cette épaule sur laquelle je peux déverser mes peines et mes soucis.
Parce que par amour, vous êtes là, toujours.
Bonne semaine à tous…
Multikiss, Maxitchao…
Pourquoi en silence? Je ne sais pas. Par pudeur, par peur de la réaction, par timidité, par nécessité, ou juste inconsciemment.
En y réfléchissant, je trouve que je ne dis pas assez souvent aux personnes qui m’entourent que je les aime. Je pense que c’est pareil pour tout le monde. Vous me répondrez qu’il ne faut pas dire aux gens qu’on les aime, il faut le leur prouver.
Certes, mais mes preuves d’amour ne sont peut-être pas vues comme telles…
Et puis, ce n’est pas évident à dire… Honnêtement.
C’est inné, souvent, d’aimer sa famille proche. Pas pour tout le monde, mais moi je les aime. Et je me sens aimée. Mais ça réchaufferait mon cœur et les leurs de le dire, de temps en temps, non?
Ce n’est pas par souci de reconnaissance ou par angoisse soudaine d'abandon, juste parce que je crois que c’est important de partager ces mots tendres, tout en les vivant.
Il y a des moments plus propices aux échanges à cœur ouvert, mais on n’ose pas toujours se le dire, les yeux dans les yeux!
Après une longue discussion grave et sérieuse avec quelqu'un qui m’est très proche, nous avons échangé quelques mails. Parce que, comme toujours, on ose plus par écrit. Et elle a mis le doigt sur ce manque, cette absence, malgré l’intensité de notre relation. Et elle a écrit ces trois mots pendus au cœur de tous, mais qui ne franchissent que trop rarement la barrière de nos lèvres.
J’ai discuté récemment avec une jeune de mon âge qui a un proche gravement malade (non, rien à voir avec mon boulot!) et qui met un point d’honneur à profiter des derniers instants, à aimer et à le dire. Elle a raison, mais je ne veux pas attendre ces situations extrêmes et ultimes.
Je sais que je suis aimée et je sais qui m’aime, là n’est pas le problème. Je veux juste braver mes interdits et me permettre de le leur dire, ou de leur écrire. Mais selon la personne à qui on le dit, c’est plus ou moins facile. J’ai pu depuis le dire à quelques uns. Pas à tous. Toujours pour les mêmes raisons.
Alors voilà, mes sœurs, ma belle-sœur, mon frère, mes beaux-frères, mes parents, mes ami(e)s très proches… Je vous aime! Et je voulais vous le dire…alors je vous l'écris.
Je tente avec ce que je suis de vous le prouver dès que je le peux. Je veux que vous sachiez que je suis toujours là, pour les choses pratiques et pour les autres choses, plus profondes.
Je suis là parce que je vous aime et que vous me le rendez bien.
Je vous resterai fidèle, parce que vous aussi, vous êtes cette main tendue dans la pénombre, cette épaule sur laquelle je peux déverser mes peines et mes soucis.
Parce que par amour, vous êtes là, toujours.
Bonne semaine à tous…
Multikiss, Maxitchao…